L’année 2025 a démarré sous le signe de la nostalgie et des légendes revisitées. Dès janvier, les salles obscures vibraient au rugissement de la savane, car Le Roi Lion fêtait ses 30 ans. Disney ressortait ce classique intemporel, et avec lui, une vague d’émotions partagées entre enfants d’hier et jeunes d’aujourd’hui. Mais ce n'était pas tout : Mufasa, le préquel tant attendu, offrait un regard nouveau sur l’histoire du père de Simba, mêlant musique, majesté et transmission.
Sur Supercartable, les sacs, trousses et accessoires inspirés de cette légende africaine ont trouvé une seconde jeunesse.
Alors que les échos du "Hakuna Matata" résonnaient encore, une silhouette bleue fendait déjà l’écran à pleine vitesse. Sonic 3, arrivé en Europe au cœur de l’hiver, propulsait le hérisson supersonique vers de nouveaux sommets, avec l’apparition de Shadow, déclenchant une vague de passion chez les enfants et les gamers.
Les fans de la première heure comme les petits nouveaux se ruaient sur les accessoires scolaires Sonic, cartables et trousses décoiffantes en tête.
Février prenait le large avec le retour de l’océan. Vaiana 2 embarquait petits et grands pour une nouvelle aventure au cœur du Pacifique. La princesse exploratrice revenait plus déterminée que jamais, portée par les vagues et une bande-son à faire frissonner les coeurs.
La collection Vaiana sur Supercartable se couvrait alors de turquoise, de fleurs tropicales et d’une énergie solaire qui appelait déjà le printemps.
Mars ne ralentissait pas. Alors que les cerisiers fleurissaient, Ubisoft plantait son décor au cœur du Japon féodal. Assassin’s Creed Shadows sortait sur consoles et faisait sensation auprès des collégiens et lycéens amateurs de sabres, de stratégies et de légendes samouraï. Deux héros, deux destins entremêlés, et une ambiance graphique à couper le souffle.
Supercartable suivait le rythme avec des accessoires Assassin's Creed pensés pour les gamers discrets mais stylés.
Puis avril arriva, et avec lui une explosion de nouveautés. Le 2 avril, Minecraft faisait ses premiers pas au cinéma. Jason Momoa en Steve, des blocs à perte de vue, et des rires d’enfants dans toutes les salles. Les fans du pixel retrouvaient leur univers sur grand écran, pendant que la boutique Supercartable se remplissait de produits Minecraft, entre cubes, creepers et couleurs 8-bits.
La même semaine, un justicier inattendu surgissait : Dog Man, mi-chien, mi-flic, mi-génie comique. L’adaptation du livre culte faisait mouche auprès des primaires. Un humour absurde, des dessins dynamiques, et un vent de fraîcheur soufflait sur les cours de récré.
Les sacs à dos scolaires Dog Man devenaient des objets convoités, mi-utiles, mi-délirants.
Et ce n’est que le début. Mai, juin et les mois suivants promettent encore leur lot de surprises, de personnages cultes qui reviennent sur le devant de la scène, et de nouvelles histoires à vivre et à porter fièrement sur son sac à dos.